Il y a quelque temps déjà, le FC Tavannes/Tramelan a confié à deux jeunes membres du club, deux Tramelots exerçant le métier d’informaticien de gestion, le soin de relooker, de gérer et d’alimenter – du moins en partie – le site internet que vous avez sous les yeux. Il s’agit d’Arber Smajli (26 ans) et de Lucas Martinez (25 ans). Leur mission, en quelques mots? Mettre en ligne les données qu’on leur transmet au fil des semaines, assurer toutes les configurations, tous les paramètres…
Le duo s’occupe également de la page Facebook du club et temporairement, pour quelques mois encore, du site internet de la Fête cantonale de lutte 2023. Celle-ci, comme chacun sait, aura lieu à l’Allianz Suisse Arena de Tramelan les 24 et 25 juin 2023, organisée par trois clubs différents, dont le FCTT.
Qui sont-ils?
Qui sont ces deux webmasters pleins d’enthousiasme et au savoir-faire éprouvé? Ancien joueur de second plan (c’est lui-même qui l’affirme), Arber Smajli a raccroché les crampons à l’âge de 20 ans, pour mieux se concentrer sur l’arbitrage, fonction qui le passionne et qu’il exerçait alors déjà depuis trois ans. Aujourd’hui, il fait partie du groupe régional des talents et officie en 2e ligue inter, tout en étant candidat à la 1re ligue. Au club, en plus de ses activités de webmaster, il remplit également, à l’interne, le rôle de responsable des arbitres.
Lucas Martinez, pour sa part, pratique le foot au sein de la deuxième équipe du FCTT, en 3e ligue, au poste de défenseur central. Et cela après avoir suivi toute la filière des juniors. Il n’a jamais connu d’autre club. Autre preuve de son attachement: son engagement en tant que webmaster. «Ce à quoi je suis surtout sensible», dit-il, «c’est de pouvoir côtoyer presque au quotidien des gens que j’apprécie, des gens des deux villages et de la région.»
Et de conclure: «Au moment d’entamer notre collaboration, Arber et moi, nous avons compris le besoin du club de moderniser son site internet, de le mettre aux standards actuels. C’est la première fois que nous nous lancions dans un tel projet, lui et moi. Nous avons vécu cela comme un challenge, qui nous a permis aussi de développer nos compétences».
